Martinez-Richter dont la mise en page et la ponctuation sont remarquables
Revue Le Peintre en 1965
Vers 1962 - Huile sur panneau - 122 x 170 cm
1970 - Huile sur panneau - 55 x 46 cm
1970 - Huile sur panneau - 55 x 46 cm
En 1957 : déménagement de toute la famille et de l’atelier à Sceaux. Elle y poursuit ses grandes compositions : Le pêcheur aux cordages, de grandes figures de judokas et de clowns, et réalise des portraits : Mme Delefosse, Mlle O. , Christian au pull blanc, Le Taupin...
Son envoi au Salon des Femmes Peintres de 1958, au Musée des Beaux-arts
de Paris, attire l'attention du journaliste Pierre d'Espezel :
"Pour moi, j'aurais récompensé Martinez-Richter Alice, auteur
d'une scène maghrébine bien solide, bien composée, bien
peinte et tout à fait dans le sujet choisi (un texte de Baudelaire :
Quand les parfums, les couleurs et les sons se répondent ...). Il est
d'ailleurs de l'intérêt du Salon de donner toute leur chance aux
peintres vigoureux : trop de critiques parlent trop facilement d'ouvrages de
dames."
Et en 1965, la revue Le Peintre publiait, à propos du Salon des Femmes Peintres :
..."Martinez-Richter dont la mise en page et la ponctuation sont remarquables" ...
Très affectée par la mort de son mari en 1970, Alice Martinez-Richter se réfugie dans la peinture.
Des voyages en Espagne vont lui inspirer de nombreux paysages et particulièrement une grande série de paysages de Peniscola.
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