Le désir d'accueillir des valeurs nouvelles, comme Nicole de Bragard, Lesourt-Rutlinger, Paulette Helleur, Martinez-Richter, arrache ce salon à la monotonie et à l'intrigue.
Claude Roger-Marx, la Revue de Paris
Entre 1951 et 1954, Alice Martinez-Richter séjourne l’été dans les Pyrénées-Orientales, où elle suit une cure thermale à La Preste, et peint des paysages du Vallespir.
Comme dans les périodes précédentes, elle expose régulièrement
dans des galeries et dans les Salons parisiens. A propos du Salon des Femmes
Peintres de 1952, où Alice Martinez-Richter obtint le Prix de la Figure
pour son tableau intitulé "Mauresque", Claude Roger-Marx écrivait
dans La Revue de Paris :
"Le désir d'accueillir des valeurs nouvelles, comme Nicole de Bragard,
Lesourt-Rutlinger, Paulette Helleur, Martinez-Richter, arrache ce salon à
la monotonie et à l'intrigue."
L'année suivante, René Domergue affirmait à propos du Salon des Femmes Peintres de 1955: "Le meilleur envoi de tous, celui qui rend un son vraiment humain est celui de Martinez-Richter - "Mauresque à sa coiffure" - vaste toile, puissamment bâtie, où jaune souffre et vert ardent, très gras, très lourds, chantent."
1955 - Huile sur toile - 240 x 193 cm
Vers 1952 - Huile sur papier marouflé sur panneau - 54 x 65 cm
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