[...] Son domaine : les Grands Salons, les grandes toiles, la lutte avec la matière, et beaucoup d'humanité [...]
Vic-Daumas - Cahier des Arts - avril 1983
A propos du Salon des Femmes Peintres de 1952, où Alice Martinez-Richter obtint le Prix de la Figure pour son tableau intitulé "Mauresque" :
"Le désir d'accueillir des valeurs nouvelles, comme Nicole de Bragard, Lesourt-Rutlinger, Paulette Helleur, Martinez-Richter, arrache ce salon à la monotonie et à l'intrigue."
Claude Roger-Marx La Revue de Paris - juillet 1952
A propos du Salon des Femmes Peintres de 1955 :
"Mais le meilleur envoi de tous, celui qui rend un son vraiment humain est celui de Martinez-Richter - "Mauresque à sa coiffure" - vaste toile, puissamment bâtie, où jaune souffre et vert ardent, très gras, très lourds, chantent."
René Domergue
A propos du Salon des Femmes Peintres de 1958 au Musée des Beaux-arts de Paris :
"Pour moi, j'aurais récompensé Martinez-Richter Alice, auteur d'une scène maghrébine bien solide, bien composée, bien peinte et tout à fait dans le sujet choisi (un texte de Baudelaire :
Quand les parfums, les couleurs et les sons se répondent ... ). Il est d'ailleurs de l'intérêt du Salon de donner toute leur chance aux peintres vigoureux : trop de critiques parlent trop facilement d'ouvrages de dames."
Pierre d'Espezel
A propos du Salon des Femmes Peintres de 1965 :
[...]"Martinez-Richter dont la mise en page et la ponctuation sont remarquables" [...]
Le Peintre - avril 1965
1950 - Huile sur carton - 46 x 38 cm
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